Publié dans Culture

Evénement - Les Tempo Gaigy inoxydables 

Publié le mercredi, 19 juillet 2023

Tempo Gaigy continue de faire des étincelles malgré la montée des nouvelles générations. Les membres de ce groupe sont des boys bands les plus actifs de leur génération. Lors de la célébration de ses 25 années, le 14 mai dernier, le groupe a enflammé le théâtre de verdure d’Antsahamanitra. Après le départ de Dina, l’un des membres du groupe, résident en France, les trois hommes à savoir, Faniry, Popoly et Lova continuent de mettre le feu même après un quart de siècle d’existence. 

A en déduire que  « Tempo Gaigy » continue de  marquer son empreinte dans le monde de l’industrie musicale malagasy vis-à-vis des nouveaux styles de musique. Les Tempo Gaigy avec leurs pas de danse, les différents accoutrements mais surtout leurs morceaux continuent de faire rêver leurs fans d’antan et la nouvelle génération de mélomanes. Et ils ne sont pas près d’arrêter. Aussi le groupe aurait décidé de poursuivre la célébration de son jubilé tout au long de ce mois de juillet, dans différents quartiers de la Capitale. Alors, pour ce vendredi, rentrant dans le cadre du défoulement après les épreuves du baccalauréat, ils entameront un concert spécial slow à l’Espace Dera Tsiadana à partir de 21 h. Par la suite, ils effectueront  un grand concert « Vita bacc » sur le terrain St Joseph Ambohibary ce 23 juillet avec le groupe THT. Enfin, ils clôtureront leurs périples  le 30 juillet prochain au Green Park Tsarasaotra avec le couple Tence Mena et Ayo Naej. Et d’autres rendez-vous seront communiqués ultérieurement selon le groupe. Comme annoncé,  le quatrième homme du groupe Dina est déjà reparti en France, après les deux concerts dans la Capitale. Ainsi, les trois hommes du groupe restés au pays  poursuivront la célébration avec les fans. Ils seront trois sur scène, mais cela ne change rien de la programmation et de l’ambiance, les fans  pourront encore une fois,  avec  Faniry, Popoly et Lova replonger dans une autre époque le temps des concerts. Rappelez-vous, les boums de votre enfance, vous avez forcement dansé un slow de « Ramose tatanta », « Ranomaso efa ritra » ou encore le tube « Anjely mainty » issus de leur premier album qu’ils ont revisité récemment et fait encore beaucoup de bruit sur les ondes locales. 

 

 Si.R

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Editorial

  • La faucheuse
    Fossoyeuse ou faucheuse, qu’à cela ne tienne, elle abat allègrement ! La Compagnie nationale d’eau et d’électricité, Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA), tue et abat sans autre forme de procès. En fait, pour le compte du premier quart de siècle de l’An 2000, la JIRAMA fauche tout ce qui bouge sur son passage. Créée dans la foulée et la folie de l’arrivée au pouvoir en 1975 du jeune capitaine de Frégate Didier Ratsiraka, par les avalanches de nationalisations, la JIRAMA voit le jour le 17 octobre 1975. Elle résulte de la fusion de la Société Malagasy des Eaux et Electricité (SMEE) et la Société des Energies de Madagasikara (SEM). Son rôle se concentre sur la distribution des services essentiels dont l’eau et l’électricité à travers le pays. La vague d’étatisations depuis 1975 se manifeste par des initiales « ma » (malagasy) à toutes les nouvelles marques des entités commerciales et…

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